jeudi 21 février 2013

lettre envoyée au président de AILES des Landes


Christian,
Pour que les petits créateur ne soient plus détroussés par les lobby industriels, il faut et il suffit d'appliquer le code de la propriété intellectuelle. Ce code qui est adopté et signé par la plupart des pays par la convention de BERNE.

Pour appliquer le code de la propriété intellectuelle, il faut et il suffit que les avocats et les juges cessent:
De donner une fausse définition et une fausse interprétation au mot « originalité ». L'originalité n'est pas une notion de ''mérite'', elle ne peut donc être ni esthétique ni inesthétique, elle ne peut être que avérée ou non avérée. C'est à dire que l'on peut prouver la date de dépôt ou de présentation au public ( couture, automobile) présentation qui prouve que le couturier, ou la marque sont bien les créateurs. De plus donner une fausse définition c'est faire usage de faux, c'est un délit.
De dire ''sans parti pris aucun, la création de Monsieur X n'a aucune originalité esthétique''. Il y a dans cette expression un deuxième délit, celui de négationnisme, le juge nie l'affirmation de l'art L112.1 qui dit ''une création est protégée quelle que soit son mérite''. Donc esthétique ou inesthétique la création est protégée. De plus le juge n'a pas besoin de se justifier en disant ''sans parti pris aucun''. Si il le dit c'est qu'il sait bien que le législatif et l'exécutif lui ont demandé d'être de parti pris et de favoriser les lobbys, et non pas de juger.
De dire que la fonction d'une création empêche sa protection par le code de la propriété intellectuelle, c'est encore se montrer négationniste envers l'art L112.1 qui dit ''Une création est protégée quelle que soit sa ''destination''. Que ce soit un capot de véhicule automobile, une robe de grand couturier, un stator de moteur à air comprimé, une chanson, une pièce de théatre, etc...........Toutes les œuvre de l'esprit, les créations, sont protégées par le droit d'auteur dès l'instant où elles ont une apparence nouvelle, par rapport aux apparences existantes qui accomplissent la même fonction.
De dire qu'une copie est différente de l'originale, alors que l'on ne juge que sur ce qui ressemble. Le juge doit juger sur l'apparence de la création par rapport à l'apparence des copies qui accomplissent la même fonction.
De dire que la copie n'est pas une copie parce que elle est trois fois plus petite que l'originale. Allez fabriquer le bonhomme Michelin le fameux bibendom trois foi plus petit vous verrez si vous n'êtes pas condamné et à juste raison, puisque plus grand ou plus petit c'est sur l'apparence que l'on juge.
De plus si les juges pouvaient vérifier concernant l' INPI, les preuves de dépôt fournies par les parties, l'INPI n'aurait pas à poursuivre à posteriori, l'usage de faux.
Et enfin... J'ai oublié le derniers argument que je voulais te donner , j'ai reçut un coup de téléphone, et j'ai perdu le fil. Dès que cela me revient je te l'envoie.


Penche toi bien sur la lettre du 25 juillet 2011 que j'ai faite au conseil supérieur de la magistrature la page deux. Si tu peut avoir les réponses aux questions que j'ai posé.

Édouard.

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